Toutefois, cela ne signifie pas que les esthéticiennes ne peuvent pas pratiquer la cryolipolyse, à condition de le faire conformément aux règles et réglementations en vigueur. Selon la Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes (DGCCRF), la cryolipolyse peut être pratiquée par une esthéticienne à des fins esthétiques, mais elle ne doit pas entraîner la destruction de cellules.
Quant au microneedling, cette décision judiciaire confirme la position actuelle des autorités françaises qui l’assimilent à un acte médical et l’interdisent aux esthéticiennes. Cependant, la Cour de cassation n’a pas totalement fermé la porte à une évolution de cette position à l’avenir en fonction de la taille des aiguilles et des protocoles utilisés.